L'intéressant ratio coût-perception des éléments publics
Les visiteurs d'une ville ou d'un événement majeur (par exemple les Jeux olympiques) sont régulièrement interrogés sur les aspects positifs ou négatifs qu'ils ont retenus de la ville ou de l'événement qu'ils ont visité. Les éléments publics (bancs, systèmes de signalisation, systèmes de collecte des déchets, infrastructures de transports publics, éclairages, etc.) Si ces éléments sont mal conçus, mal entretenus ou inexistants, le visiteur en garde, dans le meilleur des cas, une impression négative.
Mais il n'est pas rare que cela conduise même à un "vidage" de l'espace public, à un sentiment d'insécurité, à la peur (je n'ai même plus osé sortir dans la rue après la tombée de la nuit) et finalement à la décision de ne plus fréquenter la ville/l'événement ou de quitter la région. L'aménagement de l'espace public a donc une très grande influence sur la perception des gens qui l'utilisent.
Public Elements stellen nur einen ganz kleinen Teil der Gesamtkosten dar
Une grande importance suggère souvent de grands coûts. Ce n'est pas le cas des public elements. Si l'on compare le montant des investissements de tous les public elements avec les coûts de toutes les mesures de construction, par exemple pour les Jeux olympiques d'été à Socchi ou pour la construction d'un nouvel aéroport ou d'un nouveau parc, on constate sans exception que ceux-ci représentent rarement plus de 2%. Cela signifie donc que l'investissement qui exerce la plus grande influence sur la perception positive (ou négative) auprès du groupe cible d'un espace public représente souvent, proportionnellement, le plus petit poste de coût de l'ensemble du projet. Ou plus clairement encore :
Celui qui tente "d'optimiser" les 2% de la part des coûts des éléments publics risque de mettre en péril l'impression et donc l'utilisation de l'ensemble de son investissement dans la construction.